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Danse-thérapie : entre jouissance et castration

  • 21 aoĂ»t 2022
  • 10 min de lecture

DerniĂšre mise Ă  jour : 28 avr.

Concevoir la danse-thérapie sous l'apport psychanalytique de Lacan, Dolto et Winnicott.

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C’est un sujet qui s’est prĂ©sentĂ© Ă  moi le dernier mois de ma formation en danse-thĂ©rapie. MalgrĂ© la complexitĂ© abyssale de cette ouverture thĂ©orique, je vais tenter d’en esquisser quelques contours dans la clinique.

Commençons d’abord par la dĂ©finition de la jouissance :

« Le terme de jouissance pourrait ĂȘtre Ă©clairĂ© par un recours Ă  son Ă©tymologie possible (le joy mĂ©diĂ©val dĂ©signe, dans les poĂšmes courtois, la satisfaction sexuelle accomplie) et par son usage juridique (la jouissance d’un bien s’y distinguant de sa propriĂ©tĂ©) ».

Le dictionnaire de la psychanalyse, Roland Chemama et Bernard Vandermersch, p.290-291

Il a fallu que je participe Ă  une confĂ©rence en ligne de la SociĂ©tĂ© Française de Psychopathologie de l’Expression et de l’Art-thĂ©rapie sur le Silence pour entendre une participante dire que s’il y a jouissance, il y a souffrance. Mettant dans mon esprit nĂ©ophyte, un lien probable entre jouissance et symptĂŽme. La jouissance est alors liĂ©e au corps :

« Le corps c’est le point de dĂ©part de toute jouissance, dans le sujet, et c’est Ă  partir de ce moment fondamental, le stade du miroir, que le sujet fera une expĂ©rience de jouissance, d’une façon ou d’une autre. Rappelons nous que la jouissance est d’abord, la satisfaction de la pulsion. Freud dĂ©finira la pulsion comme ce qui exige une satisfaction au sujet, une satisfaction immĂ©diate, sans dĂ©lai, par tous les moyens, d’une façon tout Ă  fait indĂ©pendante de l’objet. La science parle de l’instinct, soit quelque chose de dĂ©jĂ  prĂ©dĂ©terminĂ©, qui sait dĂ©jĂ  de quoi se satisfaire. La pulsion, elle, ne sait pas de quoi se satisfaire, elle demande au sujet une satisfaction, cette exigence de satisfaction sans disposer d’un objet prĂ©dĂ©terminĂ© nous la nommons en terme psychanalytique : la Jouissance, concept lacanien. Dans ce monde nous trouverons tout un tas de machines qui viendront alimenter cette espĂšce de piranha de la pulsion. Comme la pulsion n’a pas de prĂ©fĂ©rences, de menu préétabli, Lacan dira "ça jouit". Le piranha, pour chacun, ça jouit, mais ça ne sait pas de quoi. On retrouve ces phĂ©nomĂšnes de jouissance au-delĂ  du plaisir, dans les addictions aux consĂ©quences souvent ravageantes pour le sujet. »

Le corps et ses jouissances dans la danse, Chantal CAZZADORI (mallette plateforme stagiaires PROFAC)


Le « ça jouit » lacanien me fait entrecroiser (au risque de simplifier une notion bien plus complexe qu’elle n’y paraĂźt) le Ça freudien :

« La conquĂȘte du ça, ce noyau de notre ĂȘtre pour Freud, ce lieu d’ĂȘtre pour J. Lacan, est facilitĂ©e par la psychanalyse. »

Le dictionnaire de la psychanalyse, Roland Chemama et Bernard Vandermersch, p.84


La pulsion est un

« concept fondamental de la psychanalyse, destinĂ© Ă  rendre compte, par l’hypothĂšse d’un montage spĂ©cifique, des formes du rapport Ă  l’objet et de la recherche de la satisfaction. »

Ibid. p.480


L’objet, quant à lui est

« ce qui est visĂ© par le sujet dans la pulsion, dans l’amour, dans le dĂ©sir. »

Ibid. p.395


Dans mon choix de fonction de danse-thĂ©rapeute, je continue de m’interroger sur les distinctions et les ressemblances avec l’art-thĂ©rapie en cherchant peut-ĂȘtre en vain les particularitĂ©s qui sont en jeu lors de prĂ©sence de Sujet en sĂ©ance.


L’une des distinctions que j'ai pu faire lors d’un regroupement en art-thĂ©rapie (et non en danse-thĂ©rapie), c’est la prĂ©sence de dispositif matĂ©riel rĂ©alisĂ© par l’art-thĂ©rapeute.

Des objets participaient Ă  crĂ©er un bricolage spĂ©cifique et m'a permis de mettre en relief la singularitĂ© de l’éprouvĂ© corporel (jouissance) du dispositif « immatĂ©riel » en danse-thĂ©rapie. Et en cela, l’absolue nĂ©cessitĂ© du professionnel de faire tiers Ă  la relation contre-transfĂ©rentielle par une supervision pour mettre au travail le souffle du neutre.

« C’est vrai que la danse l’expĂ©rience du corps est centrale, il jouit et se donne Ă  la jouissance de l’Autre, comme un corps qui se donne Ă  regarder par l’Autre. L’usage du voile est central Ă©galement en danse. Il joue la fonction du phallus comme image. C’est Ă  dire que le corps tel quel, n’est pas Ă  ce point enthousiasmant, il faut le recouvrir, il faut montrer et cacher les choses, toujours selon la logique du voile. »

Le corps et ses jouissances, conférence par Miquel Bassols du 23 mai 2003 à Montréal

Bien entendu, l’expĂ©rience de la danse contemporaine est bien distincte de celle de la danse-thĂ©rapie contemporaine enseignĂ©e Ă  PROFAC.

Je constate simplement que la plupart des patients, lors de mon lieu de stage, avaient une idĂ©e de la danse au dĂ©part qu’il a fallu dĂ©construire. Tout comme j’ai dĂ» moi aussi dĂ©construire cette idĂ©e tenace et m’ouvrir Ă  quelque chose de moins danse, plus dense.


La question du voile m’intrigue parce qu’elle semble ĂȘtre l’un des pivots indispensables pour passer de la notion de danse Ă  celle de la danse-thĂ©rapie. C’est comme si le dĂ©sir de neutralitĂ© chez le danse-thĂ©rapeute Ă©tait le voile (paravent) de sa fonction. Voile qui viendrait faire barrage (distinction) entre le Sujet et le professionnel. De cet espace dĂ©gagĂ© - dĂ©sencombrĂ© - pourrait alors, peut-ĂȘtre ĂȘtre l’une des garanties d’assurer la mise Ă  l’abri du Sujet en sĂ©ance.


ConfrontĂ© au confinement lors de mon cursus formatif, nous avons Ă©tĂ© contraint de suivre nos regroupements mensuels sur une plateforme virtuelle oĂč nous n’avions que le son. L’accĂšs aux camĂ©ras Ă©tait impossible. Pendant plusieurs mois, nous avons fait nos expĂ©riences seuls derriĂšre notre Ă©cran sans le regard de quiconque.

C’est lĂ  que j’ai compris l’impact du regard dans la danse et cela m’a permis de reposer la question de mon propre regard. Non sur des corps en mouvements - comme dĂ©formĂ© par mes autres fonctions professionnelles - mais comme Sujet en sĂ©ance danse-thĂ©rapeutique dont le mouvement est autant physique que psychique. Et c’est sĂ»rement parce que le Sujet est "protĂ©gĂ©" par la neutralitĂ© du professionnel, que ce mouvement peut s’opĂ©rer.

Le voile qu’était l’absence de camĂ©ra lors de ces moments de regroupement m’a permis de cerner l’importance d’ĂȘtre Ă  l’abri du regard qui renvoie Ă  celui de l’Autre et qui constitue peut-ĂȘtre une part non nĂ©gligeable de la jouissance.


Le grand Autre c’est le

« lieu oĂč la psychanalyse situe, au-delĂ  du partenaire imaginaire, ce qui, antĂ©rieur et extĂ©rieur au sujet, le dĂ©termine nĂ©anmoins. »

Le dictionnaire de la psychanalyse, Roland Chemama et Bernard Vandermersch, p.73

« On naĂźt avec un organisme, mais le corps on se le construit psychiquement, sous l’effet du langage, en tant que "parlĂȘtre", soit comme ĂȘtre de paroles. »

Le corps et ses jouissances, conférence par Miquel Bassols du 23 mai 2003 à Montréal

Dans mon lieu de stage, quand je sentais quelque chose d’assourdissant dans l’activitĂ© chant avec les patients puis lors des ateliers de mĂ©diation vitaminĂ©e pour les patients oĂč j’avais l’impression de parler trop, c’est comme si ce concept lacanien de parlĂȘtre retentissait d’une façon singuliĂšre avec les patients psychotiques et qui m’échappait totalement. Qu’est-ce que cela pouvait ĂȘtre ?


Michel Bassols dans sa confĂ©rence du Corps et ses Jouissances parle du voile comme « la fonction du phallus comme image ». Le phallus, c’est le

« symbole de la libido pour les deux sexes; signifiant dĂ©signant l’ensemble des effets du signifiant sur le sujet et, en particulier, la perte liĂ©e Ă  la prise de la sexualitĂ© dans le langage. »

Le dictionnaire de la psychanalyse, Roland Chemama et Bernard Vandermersch, p.429


Lacan affirmera que « le phallus ne peut jouer son rÎle que voilé. »

« C’est dire que Lacan met le phallus au centre de la thĂ©orie psychanalytique en en faisant l’objet du refoulement originaire freudien. (
) Cela a des consĂ©quences techniques et cliniques. Le dĂ©voilement du phallus est donc Ă  l’opposĂ© de l’interprĂ©tation (
) S’il est vrai pourtant qu’en dernier recours, toute signification renvoie au phallus, ce n’est pas comme Ă  une clĂ© magique des songes et des discours, mais dans la prise en compte de la barre qui sĂ©pare signifiant et signifiĂ© et qui divise aussi bien le sujet dĂ©sirant ($) puisque "l’inconscient est structurĂ© comme un langage" ».

Ibid. p.430

Je rajouterai la phrase de Lacan dans la Signification du Phallus

« Le phallus, dans la doctrine freudienne, n’est ni un fantasme (au sens d’un effet imaginaire) ni un objet partiel (interne, bon, mauvais) et non plus l’organe rĂ©el, pĂ©nis ou clitoris ».

Ibid.

Alors qu’est-ce que le phallus ?

« Le phallus, dit Lacan, donne au sujet le sentiment de la vie. Sa carence le fait-il s’éprouver hors de la vie, ou bien dans l’incapacitĂ© de vivre ? "La mort du sujet n’est discernĂ©e par le psychosĂ© que dans l’aprĂšs-coup d’un acte qui l’a fait devenir autre et qui a mis en jeu une perte de jouissance grĂące Ă  laquelle une Ă©laboration nouvelle de l’articulation signifiante devient possible" ».

Plateforme stagiaire PROFAC : Le complexe d’Oedipe et les psychoses / Logique du dĂ©lire de J-C Maleval


« Le fou veut imposer la loi de son coeur Ă  ce qui lui apparaĂźt comme le dĂ©sordre du monde [
] le sujet ne reconnaĂźt pas dans ce dĂ©sordre du monde la manifestation mĂȘme de son ĂȘtre actuel, et que ce qu’il ressent comme loi de son coeur, n’est que l’image inversĂ©e, autant que virtuelle, de ce mĂȘme ĂȘtre. »

Propos sur la causalitĂ© psychique, J. Lacan, (1946), Écrits, p.171-172

« Il devient autre dans la mesure oĂč il fait jouer l’inconscient Ă  ciel ouvert : les Ă©lĂ©ments dĂ©lirants parlent du sujet en tant que tel. Cette nouvelle position jaillissant dans le dĂ©lire s'observe dans la clinique, par exemple dans les idĂ©es de grandeur ou la mĂ©galomanie. Pourquoi un changement de position est-il nĂ©cessaire ? Une condition de la mise en place du dĂ©lire est justement ce changement de place du sujet. Avant la dĂ©compensation, il se trouvait Ă  une place oĂč toute symbolisation Ă©tait impossible. Pour que la construction dĂ©lirante puisse s'effectuer, il est nĂ©cessaire que le sujet parle d'un nouvel endroit. Ce changement de place constitue une premiĂšre tentative de subjectivation et de symbolisation de la place qu'il occupera dans ce nouveau monde, cette nouvelle place Ă©tant revendiquĂ©e dans le rĂ©el par le sujet. En effet, une grande difficultĂ© de la psychose Ă©tant d'intĂ©grer un symbole, il n'est que concevable que les opĂ©rations de changement se passent dans un certain rĂ©el. »

Plateforme stagiaire PROFAC : Le complexe d’Oedipe et les psychoses

« Ces Ă©preuves, les castrations comme nous les appelons, vont permettre la symbolisation et, du mĂȘme coup, elles vont contribuĂ©es Ă  modeler l’image du corps dans l’histoire de ses réélaborations successives. La castration est l’interdit radical opposĂ© Ă  la satisfaction recherchĂ©e et auparavant connue, il en rĂ©sulte que l’image du corps se structure grĂące aux Ă©mois douloureux articulĂ©s au dĂ©sir Ă©rotique, dĂ©sir interdit aprĂšs que la jouissance et le plaisir en ont Ă©tĂ© connus et rĂ©pĂ©titivement goĂ»tĂ©s. »

L’image inconsciente du corps, plate-forme site stagiaire PROFAC (B21)

« Dans le texte Question préliminaire à tout traitement possible de la psychose, Lacan dit que la structure de la psychose est déterminée par la forclusion du Nom-du-PÚre et l'échec de la métaphore paternelle : "C'est dans un accident de ce registre et de ce qui s'y accomplit, à savoir la forclusion du Nom-du-PÚre à la place de l'Autre, et dans l'échec de la métaphore paternelle que nous désignons le défaut qui donne à la psychose sa condition essentielle, avec la structure qui la sépare de la névrose". »

Plateforme stagiaire PROFAC : Le complexe d’Oedipe et les psychoses


Deux semaines aprĂšs la fin de ma formation et un mois aprĂšs la fin de mon stage, je me rends compte, qu’à la relecture de ces Ă©crits, avec tout ce que les patients m’ont tĂ©moignĂ©, trĂšs peu, voire aucun n’a abordĂ© le sujet de leur parents. Du moins aucun patient psychotique.


« Le travail de symbolisation qui a lieu au cours du complexe d'ƒdipe ne peut pas avoir lieu dans la psychose : le sujet reste dans une relation duelle avec un Autre tout- puissant qu'aucune loi ne vient tempĂ©rer. La mĂ©taphore paternelle Ă©choue Ă  cause d'un Ă©vĂ©nement qu'il a nommĂ© la forclusion du Nom-du-PĂšre. Le dĂ©lire, dans sa forme, viendra rendre compte de façon lisible de ces Ă©checs de symbolisation. »

Ibid.

Le Nom-du-PĂšre est le

« produit de la mĂ©taphore paternelle qui, dĂ©signant d’abord ce que la religion nous a appris Ă  invoquer, attribue la fonction paternelle Ă  l’effet symbolique d’un pur signifiant et qui, dans un second temps, dĂ©signe ce qui rĂ©git toute la dynamique subjective en inscrivant le dĂ©sir au registre de la dette symbolique. »

Le dictionnaire de la psychanalyse, Roland Chemama et Bernard Vandermersch, p.386

Enfin, la dette symbolique est le

« concept dĂ» Ă  l’enseignement de Lacan, pour qui le fait d’appartenir au monde du langage correspond Ă  l’inscription du petit d’homme dans une chaĂźne signifiante qui lui donnera place dans la chaĂźne des gĂ©nĂ©rations. Cet accĂšs Ă  la dimension propre Ă  l’humain - la dimension du langage - ne va pas sans ĂȘtre payĂ© d’un certain prix, sans un certain renoncement. C’est ce que Lacan dĂ©signe du terme de "castration" que l’on peut Ă©galement entendre comme le prix de la dette symbolique due par quiconque se trouve accĂ©der au monde du langage et, du mĂȘme coup, Ă  ce que Lacan nomme le phallus. Pour que quelque chose de l’ordre de la lettre puisse advenir et fonctionner, il faut en effet qu’il ait Ă©tĂ© renoncĂ© Ă  la jouissance de ce qui Ă  la lettre fait support, et n’est pas d’autre nature que celle du dĂ©chet (dans lequel on reconnaĂźtra le fameux objet a). »

Ibid.

L’objet a est quant Ă  lui, selon Lacan « objet cause du dĂ©sir ».

« L’objet a (petit a) n’est pas un objet du monde. Non reprĂ©sentable comme tel, il ne peut ĂȘtre identifiĂ© que sous forme d’éclats partiels du corps, rĂ©ductibles Ă  quatre : l’objet de la succion (sein), l’objet de l’excrĂ©tion (fĂšces), la voix, le regard. »

Le dictionnaire de la psychanalyse, Roland Chemama et Bernard Vandermersch, p.398

Et pour clĂŽturer, la lettre est

« dans le sens de caractĂšre ou dans celui de missive, la lettre est Ă  la fois le support matĂ©riel du signifiant et ce qui s’en distingue comme le rĂ©el se distingue du symbolique. »

Ibid. p.317


LĂ  oĂč cette distinction chez les psychotiques ne se fait justement pas, empĂȘchant le noeud borromĂ©en de se faire. Le noeud Ă©tant

« un objet mathĂ©matique utilisĂ© par Lacan pour prĂ©senter dans la psychanalyse les articulations possibles des catĂ©gories du rĂ©el, du symbolique et de l’imaginaire, et leurs implications dans la genĂšse et la thĂ©orie du sujet. »

Ibid. p.380

Je perçois combien le complexe d’Ɠdipe et le Stade du Miroir Ă©clairĂ©s par l’apport de Freud, de Lacan et de Dolto avec l’image inconscient du corps (que je n’ai pas pu Ă©tayer ici) apportent des jalons indispensables - malgrĂ© tout ce qui m’échappe encore - Ă  la vigilance de ma future fonction de danse-thĂ©rapeute ancrĂ©e par l’éthique d’une part et les apports thĂ©oriques de l’autre. Entre les deux, peut-ĂȘtre, pourrais-je dire qu’il se trouve l’ouverture poĂ©tique comme trait d’union ou plutĂŽt trait unaire.

« Concept introduit par J. Lacan, Ă  partir de S. Freud, pour dĂ©signer le signifiant sous sa forme Ă©lĂ©mentaire et pour rendre compte de l’identification symbolique du sujet. (
) Le trait unaire, repĂšre symbolique, soutient l’identification imaginaire. L’image du corps est certes donnĂ©e Ă  l’enfant dans l’expĂ©rience du miroir mais, pour qu’il puisse se l’approprier, l’intĂ©rioriser, il faut que le trait unaire entre en jeu. »

Ibid. p.585-587

Pour que s’ouvre le Je(u).


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Exposé faisant parti de mon mémoire de danse-thérapie écrit en Novembre 2021 et soutenu en Décembre pour la certification d'art-thérapeute.


Art du lien

Écoute de soi

Clarté mentale

Boussole intérieure


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Mickaël CHALOPIN du Centre NezSens  
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